« En toute amitié »
By Snash
Pour toi j’écrirais des poèmes, pour toi je chanterais des chansons,
Toi qui as fait de ma vie un rêve, où à nous deux nous avançons.
Pour toi je me lève le matin, pour toi je ne dors pas le soir,
Toi qui as m’as tendu la main, et fais s’envoler mes cauchemars…
En toute amitié, je ne saurai pas te mentir,
En toute amitié, je ne peux pas m‘empêcher de dire,
En toute amitié, je donnerai tout pour ton sourire,
En toute amitié, crois-le si ça te fait plaisir…
Pour toi je ferai des efforts, et j’essayerai d’être meilleur,
Toi qui m’as rendu plus fort, fais prendre conscience de mes erreurs.
Pour toi je serai toujours là, quels que soient tes problèmes,
Toi qui a toujours cru en moi, et m’a rendu plus à même …
…De te dire que…
En toute amitié, je ne veux pas te mentir,
En toute amitié, c’est certes si facile à dire,
En toute amitié, je ne veux pas te faire souffrir,
En toute amitié, mieux vaut ne pas y réfléchir…
Pour toi je ferai l’idiot, si cela peut te faire rire,
Toi dont les mots, me font toujours frémir,
Pour toi je m’effacerai, si c’est ce que tu veux,
Toi qui, un été, as su me rendre heureux…
En toute amitié, ne pas céder au désir,
En toute amitié, être forcé d’en rire,
En toute amitié, se dire que ça pourrait être pire,
En toute amitié, ne pas pouvoir ne pas s’ouvrir …
A toi… Et te dire …
Ce que je ressens,
Est-ce que tu m’entends ?
Est-ce vraiment dément,
De t’aimer tellement… ?
Pour toi je porterai ce fardeau, plutôt que de te blesser,
Toi pour qui j’ai fait le beau, et dont j’ai toujours rêvé,
Pour toi je veux être sincère, et t’ouvrir grand mon cœur,
Toi qui m’a sorti d’la galère, et m’a appris c’que c’est l’ bonheur…
En toute amitié…
C’est faux te le dire,
Quand en moi tout aspire,
A rester moi-même…
Et te dire… que je t’aime…
« Le temps passé »
By Snash
Quelques mots échangés, par un beau soir d’été,
Quelques sourires de toi, je n’osais pas tant demander,
Dès le lendemain, je n’ai pas pu m’empêcher,
N’écoutant que mon cœur, je t’ai recontacté,
Tu as semblé ravie, moi j’étais subjugué,
Car jamais de ma vie, je n’avais imaginé,
Que je puisse si vite, à quelqu’un me lier.
Le temps passé trop vite, a laissé dans mon cœur,
Une trace, une brûlure, le souvenir du bonheur,
Des fois je me rappelle, quand je suis seul le soir,
Comment c’était sans toi, comme tout était si noir,
Et je me dis qu’au fond, même si je dois en crever,
J’vois vraiment pas comment, je pourrai cesser de t’aimer.
Ce n’en est pas resté là, les choses ont progressé,
Et j’ai fini par croire, à l’amour partagé,
Sacré péché d’orgueil, à bien y repenser,
J’étais tellement naïf, tellement enthousiasmé,
Et j’ai en ce qui me concerne, essayé de vivre pleinement,
Chaque moment avec toi, savouré chaque instant.
Le temps passé trop vite, a laissé dans mon âme,
Trop de souvenirs de toi, autant de coups de lames,
Comment se souvenir, sans en venir aux larmes,
De cette trop belle histoire, qui se finit en drame…
Je ne veux pas y croire, à la fin de notre histoire,
Mais je me fais rattraper, par l’avenir si noir.
C’est vrai que comme tout le monde, on a bien eu des bas,
Mais on les surmontait, ensemble toi et moi,
Et quand on s’énervait, je pense qu’on le savait,
Que quelque temps plus tard, tout redeviendrai parfait,
Peut-être en ai-je trop fait, à bien y réfléchir,
J’te voulais que pour moi, ça a du te faire fuir…
Le temps passé trop vite, a laissé sur ma peau,
Des larmes, des cris, des rires, le son de tendres mots,
Je veux garder en moi, tous les plus beaux souvenirs,
Car je ne vois que ça, pour pas me laisser mourir,
Je comprends ton départ, si dur à supporter,
Je le vois dans ton regard, pour toi c’est terminé.
Je ne veux pas écrire, la fin de cette chanson,
Qui symboliserait , la fin de notre union,
Je ne veux pas te laisser, je veux recommencer,
Ne pas devoir te quitter, juste pouvoir te garder,
Et je maudis le temps, ce salaud qui avance,
J’aimerai te supplier, de me laisser une chance.
Le temps passé trop vite, a laissé sur mes lèvres,
Des choses inachevées, le parfum de doux rêves,
Je t’aime encore, tu sais, pourtant tu vas partir,
Et cette fois je le pense, pour ne jamais revenir,
Je peux pas te dire adieu, je peux pas renoncer,
J’aimerai voir dans tes yeux, qu’on peut continuer.
Au final c’est si sombre, la dure réalité,
Je préfère largement, mon beau rêve éveillé,
Celui que sans le vouloir, tu as fait naître en moi,
Je ne peux cesser d’y croire, et je garde la foi,
C’est stupide de ma part, c’est une part de moi-même,
Qui refuse ton départ, et qui te crie « je t’aime » …